Un père, il en faut bien un
de Stefano Pirandello
« Dès l’enfance, les deux entités de père et de mère ont eu sur moi un poids énorme et déterminant. Parfois avec des aspects tragiques tant elles étaient à la fois en conflit et enfermées chacune dans sa propre sphère : ce qui clivait mon esprit. »
Stefano Pirandello
Auteur
- Stefano Pirandello
Mise en espace
- Jean-Claude Penchenat
Traduction
- Myriam Tanant
Distribution
- Inès de Beaupuis
- Claire Lamarre ou Chloé Donn
- Geneviève Rey-Penchenat
- Didier Garreau
- Cyrille Labbé
- Paul Marchadier
- Jean-Claude Penchenat
- Jean Pommier
- Damien Roussineau
Lieux
- Théâtre de l'Épée de Bois, Cartoucherie, Paris 12e
- Forum 104, Paris 6e
Depuis la mort de sa mère, Oreste se dévoue corps et âme à la détresse de Ferruccio, son père. Un soir, ce dernier disparaît. Oreste passe la nuit à le chercher, en vain. Il court tant et si longtemps qu’il rentre au petit matin, les pieds écorchés, le désespoir et la fureur vissés au corps.
Quand Ferruccio rentre enfin, accompagné de sa toute jeune et nouvelle épouse, il est bien décidé à s’affranchir de la tutelle de son fils et à reprendre son rôle de père.